LES GAZELLES DE FAYAKO

SEGOLENE: J’ai 39 ans, inspectrice des douanes, fière maman de 4 enfants et très investie dans diverses associations. Je ne suis pas une grande athlète, mais j’aime l’idée de pouvoir me dépasser physiquement dans cette épreuve. Mais ce qui me porte vraiment, se sont les perspectives de rencontres, d’échange et de solidarité qui sont les moteurs de cette course. et à l’approche de mes 40 ans (que j’espère bien fêter en avril lors de la sénégazelle) je voudrais pouvoir prouver à mes proches et à moi-même que je suis capable de relever le défi et vivre cette magnifique aventure humaine.

CARINE : J’ai 40 ans, je suis assistante de direction dans une collectivité territoriale, et maman de 2 filles de 16 et 8 ans. Je ne suis pas non plus une grande sportive, et me suis remise il y a peu au footing avec certaines maman de l’association « les amis de fayako ». Pouvoir participer à la sénégazelle est donc pour moi un défi physique de taille, mais que je compte relever. Mais c’est surtout de pouvoir s’impliquer concrètement dans la cause humanitaire et solidaire qui me tient le plus à cœur, l’envie de rencontrer une population différente de la notre pour porter mon aide, partager, échanger est également ce pourquoi je souhaite contribuer à cette belle aventure. 

FRANÇOISE : J’ai 48 ans, 3 enfants (18, 16 et 6 ans), je suis responsable de la gestion du personnel dans une mutuelle solidaire, je suis élue et investie dans la vie associative, l’école. J’aime m’impliquer dans des projets qui ont du sens et ai très envie de partager cette belle aventure et ce défi avec la chouette équipe que nous formons. L’aspect humain est primordial: rencontrer les sénégalais, les aider à notre humble niveau et témoigner auprès des enfants et des plus grands sera une expérience extraordinaire.

Maylis : J’ai 37 ans, je suis maman de 2 enfants de 9 et 6 ans et enseigne dans un collège. Je suis sensible aux projets humanitaires, tout particulièrement ceux qui concernent la scolarisation des enfants, tellement importante à mes yeux. Je me suis mise à courir depuis peu et ne suis pas une grande athlète. Pourtant, je suis prête à relever ce défi physique tant le côté humanitaire me tient à cœur. Je veux partager cette grande aventure pour prouver qu ‘ensemble, pour une cause solidaire, on peut se surpasser, que les valeurs de partage et d’entraide sont importantes.

DELPHINE: J’ai 37 ans, infirmière et investie dans le tissu associatif, je serai fière de représenter l’association « les amis de fayako » lors de cette course. Ce projet est pour moi un réel défi et surtout une grande aventure Humaine. Il est important pour moi de transmettre à mes enfants de 7 et 9 ans ces notions de partages, d’entraide et de dépassement de soi en m’impliquant dans ce très beau projet humanitaire. 

SOPHIE : J’ai 48 ans, 2 enfants (22 et 19 ans), je suis infirmière puéricultrice dans une collectivité territoriale. Au delà de l’aspect sportif de cette course, c’est la cause des enfants qui me tient à cœur. Je partage comme toutes mes coéquipières les valeurs de partage et d’entraide.